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[Bloganniversaire 2 ans] La trilogie Hanaoni

Bonjour ou bonsoir à toutes et à tous ! On se retrouve aujourd’hui pour fêter les deux ans de ce blog peu alimenté (merci les collaborations et les challenges 🤭) mais également les 10 ans de mon entrée dans le monde merveilleux des dramavores 🤩.

Le 27 juillet 2019, j’ai posté cet article pour me présenter et je ne savais pas trop dans quelle aventure je m’engageais. Je n’avais pas vraiment défini la façon dont j’allais écrire, une formule spéciale pour introduire une critique ou quel type de contenu je voulais mettre en avant. Peut être parce que mes goûts et mes idées me semblaient un peu farfelu(e)s.

Mais après quelques années sur twitter, en découvrant des blogs ou des threads plus intéressants les uns que les autres et en faisant connaissance avec leurs propriétaires, le doute a laissé place à une forte curiosité.

Plusieurs dramavores m’ont encouragé à créer ce blog et à me lancer à mon tour, ça m’a beaucoup aidé à prendre confiance en moi et à ne pas constamment me dénigrer.

10 ans auparavant, je n’aurai jamais pu croire que je pourrai écrire sur des œuvres m’ayant fait passé par une ribambelle d’émotions et partager ma passion avec d’autres fans.

J’ai commencé par des dramas japonais et des dramas taïwanais, ensuite des lakorn, en passant par des dramas chinois, vietnamiens et coréens, sans oublier de tout aussi chouettes films.

Les thèmes et genres que j’ai eu l’occasion d’observer m’ont permis d’affirmer mes goûts ; mon âge a aussi joué un rôle important : il m’a donné l’opportunité d’apprécier certains dramas quelques années plus tard, sans que je passe mon temps à me blâmer pour cet échec.

Désormais, je sais ce dont j’ai besoin et ce que je désire ne plus voir, plus de honte également pour ce que je suis et partage de ma personne à travers des critiques.

J’ai reçu beaucoup de soutien et je souhaitais vous remercier pour tous vos mots, merci à vous toutes et tous du fond du cœur ❤️.

Comme je n’ai plus ce sentiment de culpabilité/honte, je voulais vous partager une critique sur une trilogie de films japonais que j’aurai pu dévorer il y a 10 ans de cela.

Tant pis si l’enfer m’attend, j’ai tellement fait de blagues sur les champignons toxiques et la camomille que plus rien ne me fait peur 😎.

Et la meilleure façon d’introduire cette trilogie est sans aucun doute cette citation historique de mdramagirl :

« En fait, je crois qu’on est tellement à la recherche de la perle rare qu’on se permet de regarder les pires trucs 😂 »

Et c’est exactement ce qui pourrait résumer l’histoire de Hanaoni !

A l’origine, un light novel doté de quatre tomes, illustré par Kazuki Yone et écrit par Risa en 2007.

Né au Japon, c’est un nouveau format de roman qui est accompagné d’illustrations, destiné à un public de jeunes adultes.

Il se démarque des autres romans visant les adultes puisque le light novel a été créé pour distraire le public concerné. En plus des illustrations qui viennent enrichir ce roman, ce dernier est composé de paragraphes courts sous forme de dialogues, pour que le lecteur ne s’ennuie pas et soit passionné par l’histoire. Ceci explique la forte popularité du light novel au Japon.

Cela n’a donc rien à voir avec un manga, excepté pour les dessins et le fait qu’une franchise puisse compter à la fois plusieurs médias.

Par exemple, si l’œuvre de départ est un light novel et qu’elle connaît un succès important, elle peut être adaptée en manga et anime.

Hanaoni a lui été perpétué d’une autre manière : deux jeux vidéos sur psp, lancés sur le marché japonais en 2011 puis 2012, après la diffusion de la trilogie en 2009, au cinéma. Cette dernière est aussi connue sous le titre de Battle of Demons ou de Flower Demon.

Les traumatisés

Cette œuvre se découpe donc en trois parties : la première est sortie le 21 novembre (1h41), elle raconte l’histoire de Asagiri Kanna. Le jour de son 16e anniversaire, cette jeune fille timide et harcelée par des élèves de son lycée, va devoir se rendre dans un autre établissement. Elle apprend qu’elle va devoir se marier avec le roi des démons, Kito Kaki. Mais aucun des deux prétendants n’est heureux à propos de ce futur événement.

Les bizarroïdes

La deuxième, le 29 novembre (1h21) est un prequel se déroulant 20 ans avant les événements du premier et troisième film. Il se concentre sur Sahara Moegi , une jeune fille banale et normale de 16 ans. Cette dernière se retrouve mariée elle aussi de force à un démon, Takatsuki Reiji. La demoiselle va résister en refusant ce mariage qu’elle trouve grotesque (elle a bien raison) et tenter de s’échapper. Elle fera également la connaissance de Horikawa Hibiki, un jeune homme quelque peu particulier (traduction = dangereux, à fuir sous peine de mourir dans d’atroces souffrances 😁). Mais il ne faut pas la sous estimer pour autant.

Les idiots

La troisième, le 5 décembre (1h29), se passe au même moment que la première mais le couple concerné n’est autre que Horikawa Hibiki et Tochizuka Momoko. Cette jeune fille de 16 ans également, est promise à un démon mais ce dernier la quitte pour une autre épouse. Après cette rupture et les vacances, Momoko décide d’aller boire un verre (oui elle est mineure mais tout est possible dans ce film) et en ressortant du bar, elle manque de peu de se faire écraser par une voiture rouge. Le lendemain, elle découvre qu’il s’agit de Hibiki. En faisant sa rencontre, Momoko apprend qu’il veut devenir le nouveau roi des démons et de ce fait, tuer Kaki.

Arrivé à ce stade, vous vous demanderez peut être pourquoi des démons se marient avec des lycéennes, comment on en est arrivés à cette situation glauque et pourquoi je leur ai donné ces surnoms.

[Je pourrai parler de la sexualisation des lycéennes et du fétichisme autour de leurs uniformes scolaires mais je vais vous mettre trois liens à la fin de la critique.]

C’est ce que je vais tenter de vous expliquer avec l’histoire de ces démons et de leurs épouses.

La race des démons est porteuse d’un défaut génétique empêchant les filles de naître. A cause de cela, ils attaquent des femmes enceintes de petites filles pour mélanger leur sang avec celui de la femme, rendant ainsi capable cette future petite fille de pouvoir elle aussi, mettre au monde des enfants démoniaques.

16 ans plus tard, cette petite fille devenue adolescente se voit kidnappée et prise en tant qu’épouse de démon ; chacune reçoit une marque avec un symbole pour montrer son statut.

C’est un contrat passé entre la femme et le démon : il modifie les gènes de l’enfant et explique à la mère ou aux parents que leur bébé deviendra sa femme dans seize ans. 

Cerise sur le gâteau : en plus du fait que l’agneau la jeune fille ne soit pas au courant de cet accord, la marque excite les hommes (je vais y revenir…). Il s’engage donc à assurer sa protection par l’intermédiaire de gardiens. 

Sauf qu’en réalité, le démon agit sans demander l’accord de la maman (elle lui plaît donc il a décidé que ce serait elle) et il la traite comme un objet qui devra ensuite lui donner cet enfant, en échange de lui laisser la vie sauve. C’est plus une malédiction qu’un contrat : les femmes sont littéralement traitées comme des esclaves, pour le bon plaisir des hommes.

Des personnages féminins (extra)ordinaires

On pourrait se dire que les femmes n’ont aucune chance et puis c’est tout, fin de l’histoire. Mais je vous arrête tout de suite : malgré le fait qu’on les traite mal, les stars de cette trilogie, ce sont les femmes et elles ne vont pas se laisser faire ! Non mais.

Asagiri Kanna (Aizawa Rina) :

C’est l’exemple parfait de l’objectification des femmes. Le harcèlement qu’elle subit résulte de la marque : l’odeur de cette héroïne rend fous les hommes. La marque les attire irrésistiblement et la future épouse est à leur merci, ils tentent en permanence de l’abuser (sexuellement). Résultat, les autres filles sont jalouses et lui font payer le fait que les garçons ne s’intéressent pas à elles. La mère de Kanna, de son côté, blâme sa fille et ne l’a protège pas de ces agressions quotidiennes.  

Kanna a donc vécu les 16 premières années de sa vie traumatisée par les hommes, sans aucun ami, en pensant que sa mère l’a haïssait. Ce qui est faux puisque sa maman s’en veut terriblement d’avoir été choisie et vit dans un cauchemar où elle va devoir donner sa fille. Je ne la défends pas parce qu’elle aurait dû soutenir Kanna mais sans gardien pour la protéger, elle pouvait difficilement être toujours là au bon moment. 

La jeune fille est souvent décrite comme une demoiselle en détresse mais j’aimerai dire que c’est faux. Pourquoi? Parce que sans gardien, il est normalement impossible de survivre pendant seize longues années. Kanna est forte : elle ne sait pas se battre mais a une certaine volonté qui lui permet de continuer à s’accrocher. On le verra plusieurs fois dans le film, malgré sa peur et sa timidité, elle va aller à la rencontre du danger et apprendre à s’en sortir seule. Il lui arrive de recevoir de l’aide mais Kanna est suffisamment déterminée pour y arriver. En revanche, je trouve très cruel d’en faire une héroïne parce qu’elle a survécu à toutes ces attaques, cette glorification de la souffrance, c’est glauque et malsain. Le fait que ces nouveaux gardiens la désirent (un sketch) me dégoutait, vraiment improbable.  

Sa relation avec Kaki aurait pu être beaucoup mieux écrite mais les scénaristes se sont emmêlés les pinceaux dans la temporalité de leur histoire. Elle se déroule sur la première et la troisième partie, ça ne laisse pas vraiment de place à un développement de leur relation, contrairement au light novel qui a clairement explicité l’évolution de cette dernière. En temps normal, je n’aurais pas souhaité un rapprochement entre ces deux personnages complexes mais certains moments étaient vraiment intéressants, dommage.

Concernant les liens avec les autres femmes, j’ai beaucoup aimé la façon dont elle se lie d’amitié avec Momoko et comment leurs liens vont se renforcer. Moegi est peu présente mais cette dernière a été très bienveillante envers elle, ça faisait du bien de voir des femmes qui ne se font pas du mal.

Sahara Moegi (Kawamura Yukie) :

Dans la 2e partie de la trilogie, Moegi est envoyée comme toutes les épouses (ce sera la même chose pour Kanna et Momoko), au lycée Kigasato. Une école où vont les démons mais aussi des humains, un endroit où les démons vivent depuis des générations et où une hiérarchie est instaurée entre eux pour maintenir l’ordre.

Moegi a un caractère affirmé et a tendance à faire savoir aux autres quand elle est d’accord ou non. Comme Kanna, elle essaie de s’enfuir à plusieurs reprises mais en vain. Promise à Takatsuki Reiji, infirmier au lycée, elle rejette en bloc cette union. Bien qu’il soit plus doux que les autres démons, Moegi s’en méfie plus que Hibiki. Elle va passer de plus en plus de temps avec lui, ne voyant pas du tout le danger qu’il représente.

Moegi ne comprend pas les autres filles obsédées par leur propre mariage et ces dernières lui font bien comprendre qu’elle est étrange. Et Moegi ne peut pas compter sur ses parents, qui eux (surtout sa mère 🤣 ), la poussent à rester avec son prétendant.

Entre-temps, elle va devenir amie avec Iori, une jeune fille humaine travaillant en tant que domestique chez Reiji. Elles ne s’entendent pas du tout au début puisque Moegi veut partir à tout prix et Iori aime Reiji. Comme Iori est humaine, sans marque (j’ai l’impression que je parle d’animaux voir pire, c’est glauque), ce n’est pas possible. Grâce à la cuisine (les gâteaux surtout), elles vont se rapprocher.

Dans le premier film, Iori est mentionnée une seule fois et encore une fois, quel gâchis de ne pas avoir approfondi cette relation. 

Par contre, je dois avouer que je me fichais totalement de ce qui se passait avec Reiji, ce vieux pervers  😑

Tochizuka Momoko (Kago Ai) :

Une anti héroïne haïe par sa famille, seule au monde, se retrouve au lycée Kigasato car elle aussi a reçu la marque. Mais son démon l’a quitté, elle se retrouve encore plus isolée, entourée de filles qu’elle qualifie d’idiotes parce qu’elles sont obsédées par les démons. De fil en aiguille, Momoko va se retrouver liée avec Hibiki et l’assister dans des tâches obscures Spoiler // Piéger Kanna pour faire tuer Kaki puis essayer que Kanna soit à son tour assassinée. C’est d’ailleurs pour ça qu’elle est devenue amie avec cette dernière mais finalement, Momoko a des remords et se rend compte qu’elle l’apprécie vraiment //. 

Pour autant, elle ne va pas sombrer avec lui. Momoko est drôle, attachante, aime beaucoup les gâteaux au chocolat, doté d’un fort caractère; elle tient tête à Hibiki et ne se laisse pas intimider. C’est le personnage qui a le plus évolué dans ses relations et dans sa façon de penser, de voir le monde. 

J’ai adoré sa relation avec Hibiki, ils ont tous les deux un super sens de la répartie et une alchimie dingue, c’était le meilleur duo de cette trilogie!

Des démons sans cornes

Soit ils sont « excités » en permanence en courtisant les épouses ou les humaines et plus si affinités (pourquoi s’embêter!), soit ils prennent plaisir à tuer, soit ils vont à l’école. Tout un programme 😁.

Kito Kaki (Araki Hirofumi) :

Le roi des démons, le top du top, la crème de la crème! Il est désiré par quasiment toutes les lycéennes (sans rire, pas merci la misogynie qui pousse les filles à s’entretuer pour ses beaux yeux) et couche avec des humaines dans la bibliothèque.  Pendant 16 ans, Kaki  a espéré que Kanna soit assassinée mais elle a été plus résistante qu’il ne le pensait. 

Pour y remédier, il va tenter de la tuer le jour de leur mariage. Ambiance.

Charmant damoiseau n’est ce pas? Et pour ne rien gâcher, il est doté d’un sacré sens de l’humour 💀. 

Mais cette façade cache des blessures secrètes (😂), Spoiler // sa mère a été tuée alors qu’elle était très malade. Pour se venger et perdre ce statut de roi, Kaki a choisi la mère de Kanna et fait en sorte de rendre leurs vies misérables.// 

On sent qu’avant cet événement, c’était un jeune homme avec de l’empathie, entretenant de bonnes relations avec ses gardiens jusqu’à ce jour tragique et Spoiler // ce que ces derniers décident de marquer Kanna pour la protéger//. 

Son rôle de roi n’est pas toujours simple : constamment menacé parce que les autres démons veulent sa place, il n’a pas le droit d’être aidé ou soigné. Mais Kanna va changer en partie ces stupides règles. 

Sa relation, même si elle est peu exploitée, m’a plu parce qu’ on voit que Kaki ne la déteste pas tant que ça et que Kanna peut enfin compter sur lui. 

Takatsuki Reiji (Hosogai Kei) : 

Il exerce en tant que médecin au lycée Kigasato et un des trois gardiens de Kaki. C’est le mari de Moegi, un démon de 500 ans très instruit et qui semble plus doux que les autres démons. Plus doux d’accord mais ça n’empêche que c’est un pervers (montre bien les comportements des hommes envers des jeunes filles). Ça m’énerve qu’on puisse le montrer comme un être inoffensif (son comportement avec Kanna…) mais heureusement, Moegi arrivait toujours à imposer des limites. 

Et son histoire dans le 2 avec les origines des démons mais c’était nul??? On partait sur un mystère intéressant et??? Je ne crois pas qu’on puisse descendre plus bas 🤣.

Horikawa Hibiki (Murai Ryota) : 

C’est grâce au personnage de Kago Ai et du sien que j’ai commencé cette trilogie, en voyant cet extrait il y a deux ans (10,40 à 12 minutes, je suis morte).

Un anti héros, que dis je une pourriture qui passe son temps à piquer les épouses des autres, à larguer les siennes ou à les tuer (selon son humeur, j’imagine? 🤭 ). Il méprise totalement les femmes en jouant avec elles, en les jugeant sur leur physique (quand Kaki et lui ont affirmé que Kanna était laide… j’ai su). 

Ce chouette individu souhaite assassiner Kaki, pour devenir roi et parce qu’il estime qu’il serait un meilleur choix. Il ne doute de rien et a beaucoup de cran. 

Néanmoins, aussi fort soit-il, Hibiki a besoin de l’aide de Momoko pour mettre à exécution son plan diabolique. La tentative d’assassinat fait partie des scènes les plus drôles puisqu’on peut la voir sous deux angles; avec le point de vue de Kanna dans la première partie et celui de Momoko dans la troisième partie. 

Sa relation avec Momoko ? Wow. Clairement, ce n’est pas quelque chose que je pourrai qualifier de sain mais leur alchimie était incroyable et c’est sans doute les deux seuls acteurs qui savaient jouer (violence gratuite). J’ai plein de scénarios en tête concernant la fin du dernier film, je les aime ❤.

Délire collectif ou comédie absurde ? 

Certes, c’est une adaptation mais certains détails auraient pu être quelque peu retouchés. Je me demande si à force d’avoir tourné dans la forêt, ils n’ont pas respiré des fumées toxiques xD

Mais la mise en scène était tellement grotesque que ça devient hilarant.

Par exemple, les parents de Moegi qui sont très détendus par rapport à l’histoire de la marque, les profs (à quoi servent ils?!), les yeux des démons quand ils changent de couleurs, la façon dont les gardiens marquent Kanna ou comment les démons mélangent leur gènes avec des humaines, quand les filles courent dans la forêt (je ne devrai pas rire mais 😭), les scènes de combat (déception intense), les effets spéciaux, les démons n’ont rien de spécial à part vivre longtemps, un scénario qui exploite peu ou oublie certains personnages…

Le plus gros problème, c’est bien la réalisation chaotique, à l’image des scènes de combat ou des filles s’échappant dans la forêt. Aucune coordination, ça virevolte partout et ça n’a aucun sens! La façon dont s’est filmé accentue la misogynie dont sont victimes les jeunes filles, je ne peux même pas qualifier cette réalisation tant c’est mauvais. 

Heureusement qu’on a une bonne dose d’humour et des personnages intéressants… Ce que je vous conseille, c’est de le voir avec d’autres personnes pour y réagir ensemble, fun garanti!

Je souhaitais tout de même souligner deux points positifs : les affiches que je trouve de bonne qualité, quoi qu’un peu étranges et qui permettent de bien identifier les personnages.

Les musiques et l’ost. En soi, elles ne sont pas mémorables mais j’aime beaucoup celle quand un démon fait son entrée (un poil menaçante) et une qui est plus douce (Momoko x Hibiki).

Voici le générique de fin, une pépite! 

Conclusion : Si vous avez envie de perdre quelques heures devant une comédie malsaine et misogyne, je vous conseille cette trilogie! 

Ils sont beaux **

Merci à vous tous et toutes de me lire, j’espère que cette critique vous aura plu, à bientôt pour de nouveaux articles ~ ❤❤❤

Liens :

https://www.voicesofgenz.com/post-1/a-dive-into-the-harmful-japanese-schoolgirl-stereotype

https://www.google.com/amp/affinitymagazine.us/2016/04/30/into-the-world-of-japans-school-girl-culture/amp/

https://www.google.com/amp/s/nationalpost.com/news/world/japans-schoolgirl-complex-child-prostitution-masquerading-as-high-school-dating/wcm/3edcf37f-8b3e-4950-b3e9-ace32515695b/amp/

4 réflexions au sujet de “[Bloganniversaire 2 ans] La trilogie Hanaoni”

  1. Ton article m’a fait mourir de rire, merci 😂 je note ce drama pour l’éviter mais j’ai l’impression de déjà bien le connaître après ton article 😅 il y avait vraiment des histoires étranges… je pense qu’on ne devrait pas avoir trop honte de ce qu’on a lu/vu quand on était jeune (moi même… gloups), l’important c’est aussi de revenir dessus avec un œil plus critique 😁 et bon anniversaire de blog 🥳!

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